FFB et CAPEB, nous avons tous souffert des dérives du photovoltaïque et de l'attitude des éco-délinquants. Le client final était évidemment la première victime mais, au-delà, ni l'argent public ni l'image de la filière n'ont été épargnés.
Pour notre part, nous sommes favorables à la promotion de la qualité par une formation qui ne peut se faire que sur la longue durée, ce qui demande un engagement financier lourd pour un chef d'entreprise. Ce dernier ne suivra donc cette voie que s'il a le sentiment d'avoir affaire à une politique stable et prévisible.
M. Philippe Pelletier a répondu à M. Alain Gest : pour peu qu'il soit clair, nous sommes prêts à nous adapter à l'objectif fixé en termes de nombre de logements à construire ou à rénover. Que ce soit 400 000 ou 500 000, la FFB et la CAPEB se mobiliseront pour mettre les troupes en ordre de marche.
Il faudra sans doute faire une promotion particulière des matériaux biosourcés sous réserve qu'ils obtiennent la même classification thermique que les matières traditionnelles.