Deux conventions étaient hier à l'ordre du jour de la Commission des affaires étrangères : l'une concernant l'Île Maurice, et l'autre, la Turquie. La seconde vise à donner un fondement juridique à une coopération qui existe depuis longtemps.
Ce retrait de l'ordre du jour s'explique tout d'abord par notre emploi du temps : les votes prévus hier ne nous auraient en effet pas laissé suffisamment de temps pour débattre des deux conventions en commission. Il nous a en outre paru nécessaire de les réexaminer de plus près avant d'en discuter. Leur examen n'est donc que reporté – vraisemblablement aux 19-20 mars prochains – ce qui est sans conséquence pratique puisque la Turquie n'a pas encore ratifié la convention qui la concerne.