Le thème de cette audition est l'optimisation des aides, et notamment leur gouvernance. La politique mise en oeuvre par la région Île-de-France est conséquente, mais il semble qu'elle joue un rôle supplétif par rapport aux autres instances. Vous l'avez dit vous-même en rappelant que la région était devenue un « passage obligé » pour les bailleurs. Cette évolution vous paraît-elle liée au seul problème des moyens financiers, notamment de ceux de l'État, ou davantage à un problème de gouvernance, sachant que l'on fait désormais clairement la distinction entre la situation de l'Île-de-France et celle des autres territoires, comme l'Orléanais, par exemple, dont je suis élu ?