Il y en a quatre ou cinq de plus. Je n'ai pas à me prononcer sur leur taille. Il n'existe pas de réponse universelle, même si certains opérateurs sont manifestement sous-dimensionnés. C'est un élément à intégrer dans un éventuel réexamen des différents échelons de gouvernance.
Pour en revenir à la coordination régionale, les délégataires souhaitent être tenants de l'autorité organisatrice de l'habitat – au niveau de l'intercommunalité, en l'occurrence, mais cela peut être au niveau du département, voire de la région – en lien direct avec l'État. Nous ne voulons pas d'un mariage à trois avec la région. Bien entendu, celle-ci doit être partie prenante de l'observation et de la concertation ; son avis est important – actuellement, les PLH sont approuvés par le CRH – ; mais les politiques relèvent d'un contrat passé directement entre l'État et une autorité organisatrice.