Mon point de vue est pragmatique : je crains que l'adoption d'un tel dispositif ne nous fasse régresser de vingt ans, le temps que les régions acquièrent la culture qui découle, en ce qui nous concerne, de trente ou quarante années de pratique. Il faut, à l'échelon local, un État fort qui soit capable de contractualiser ; et pas de dualité, comme cela se produit parfois, entre le préfet de région – ou la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) qui gère les enveloppes - et les services départementaux.