En outre, on nous dit que la dévolution des actifs aux caisses de retraite ne pourra s'effectuer tant que des emprunts pourraient être contractés. Les partenaires sociaux ne peuvent entendre cette limitation qui reporterait la dévolution 30 ans plus tard.
On nous demande également de vendre immédiatement des logements encore conventionnés, pour des besoins qui n'apparaîtront que dans 15 ans. Cette option est également inacceptable car cela nous imposerait de les vendre à la moitié de leur valeur, sans qu'il y ait d'urgence.