Je souhaite dire tout le bien que je pense d'une telle étude, notamment en raison de son lien avec la réflexion sur le développement des énergies renouvelables, mais je tiens à souligner que le qualificatif d'« intermittentes » qui vient encore d'être utilisé pour décrire celles-ci est inapproprié, car il renvoie à un mécanisme de tout ou rien, alors que l'adjectif « variables » me paraît bien plus adapté, comme l'illustre le cas des énergies dépendantes du niveau des cours d'eau, par exemple. La question du stockage de l'électricité se pose pour toutes les formes d'énergies variables, y compris les énergies hydraulique et nucléaire.