Légiférer en l'état sur ce sujet aura de lourdes conséquences sur la capacité à anticiper les développements de réseau nécessaires à l'accueil des productions et sur les capacités d'ERDF à gérer l'accueil des demandes, les études de raccordement et la gestion des contrats d'accès. Par ailleurs, la suppression des zones de développement de l'éolien confiera l'essentiel des décisions aux préfets, sous l'influence prédominante des promoteurs et dans des zonages toujours plus lâches consacrés par les schémas régionaux éoliens.