Monsieur le ministre, vous avez eu des mots encourageants pour l'élevage. Reste que l'administration, à la demande de la Communauté européenne, envisage d'étendre les zones vulnérables dans un certain nombre de régions françaises – notamment le Nord-Est de l'Anjou, au sud de votre département. Les conséquences en seront multiples pour les exploitations agricoles : augmentation des capacités de stockage des déjections animales de quatre à six mois ; obligation de couverture hivernale des sols ; suivi administratif supplémentaire pour tous les agriculteurs. Pourrait-on revenir sur la définition de ces nouveaux zonages ?
Je remarque par ailleurs que vous n'avez pas répondu à la question d'Antoine Herth sur les retenues collinaires, à la suite de l'abandon, par Delphine Batho, des deux décrets les concernant.