Intervention de Bruno Sido

Réunion du 21 février 2013 à 9h00
Commission de la défense nationale et des forces armées

Bruno Sido, sénateur, président de l'OPECST :

Je me réjouis que le Parlement puisse tenir une telle audition publique, à l'initiative de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques.

Regrouper notre délégation et les commissions de la défense et des forces armées de l'Assemblée nationale et des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat est, au demeurant, une métaphore des travaux que nous menons en commun à l'Office, entre députés et sénateurs.

Actuellement, nous sommes ainsi chargés de quatre études, qui sont chacune portées par deux rapporteurs – un sénateur et un député.

Mais le sujet que nous allons aborder est tellement central pour notre pays que nous aurions aussi bien pu y associer des membres des commissions des affaires économiques, tant la pénétration diffuse de la numérisation est devenue décisive pour notre compétitivité, ou des affaires culturelles, puisqu'on ne peut aujourd'hui pratiquement plus faire de recherche de haut niveau sans avoir recours à des modélisations de plus en plus sophistiquées.

Mais Chamfort se rappelle à moi, qui disait « pour le superflu, il faut s'en tenir au nécessaire ». C'est pourquoi je termine ici mon propos introductif. Je m'exprimerai sur le fond du sujet lors de la première table ronde de cet après-midi.

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