À propos des soldats morts en opération qui ne peuvent pas voir leur nom inscrit sur les monuments aux morts du fait qu'ils ne sont pas « morts pour la France », je suggère que notre Commission réfléchisse et fasse des propositions. Par ailleurs, je regrette qu'il n'ait pas pu être possible d'auditionner le ministre chargé des anciens combattants. Celui-ci a certainement des contraintes, mais je pense que nous aurions pu quand même l'auditionner, quitte à le faire la nuit !