Par ailleurs, monsieur le ministre, vous savez aussi bien que nous que la question n'est pas, malheureusement, celle des moyens alloués aux établissements scolaires. Prenons un exemple. Vous entamez la réforme des rythmes scolaires. Or, vous savez que le système éducatif français propose 12 % d'heures de plus par élève à l'année. En s'attaquant à cela, on pourrait renforcer le primaire sans pour autant créer des postes. C'est tout l'enjeu, me semble-t-il, d'une réforme sans moyens nouveaux, qu'il est tout à fait possible de porter.