En écoutant les propos du Président, j'ai été particulièrement sensible aux difficultés d'application de certaines lois outre–mer. De mon point de vue, cela pose la question du centralisme et de la subsidiarité ; il n'est pas bon de vouloir appliquer une loi de manière uniforme sur l'ensemble du territoire, alors que les problématiques locales peuvent être très diverses. De manière simple, il ne faut pas donner les mêmes droits aux Français et aux étrangers, sinon on risque se heurter à des abus.