En 2010, j'ai indiqué que, si nous développions un projet, nous devions envisager d'employer, à terme, des Guyanais.
Dans plusieurs pays, nous avons développé ce type d'activité à partir de rien. C'est ainsi qu'aujourd'hui, sur les plates formes Shell des Philippines, ce sont des Philippins qui interviennent. Ce qui n'empêche pas – et c'est bien normal – que des Philippins travaillent à l'étranger et que des étrangers travaillent aux Philippines.
Reste que, pour former 80 % des personnels en Guyane, nous aurons besoin de mettre en place un partenariat avec la collectivité. Nous le ferons le jour où nous saurons qu'il y a un projet commercial.