À mon tour, je voudrais saluer les préconisations contenues dans ce rapport et insister aussi sur la région en tant qu'échelon territorial le plus pertinent pour établir un calendrier le plus court possible. Je pense faire plaisir à François-Michel Lambert en indiquant qu'un grand élément national perturbe cette organisation régionale : la Commission de régulation de l'énergie, à travers ses interventions et labellisations d'appels d'offre, stérilise et neutralise certains projets régionaux, alors que, concrètement, CRE 1, CRE 2, CRE 3 ou CRE 4 ne sont pas visibles pour nos concitoyens. Elle empêche notamment certains projets de biomasse de voir le jour quand ils ont une échelle plus réduite. Il faudrait organiser cela aussi, sinon on ne pourra pas faire grand-chose sur les territoires.