Pour définir le public cible, le texte mentionne les zones urbaines sensibles et les zones d'emploi dans lesquelles le taux de chômage des jeunes de seize à vingt-cinq ans est supérieur à la moyenne nationale. Je suis surprise que les territoires ruraux n'y figurent pas. Si les zones de revitalisation rurale sont potentiellement concernées, pourquoi ne pas le dire ? Là aussi se trouvent des jeunes gens défavorisés, en recherche d'emploi, susceptibles d'être intéressés par le métier d'enseignant. L'équité sociale et territoriale impose qu'ils soient également pris en considération.