J'ai bien noté les pirouettes de M. le rapporteur : il est vrai que les voies qui mènent à l'universel sont multiples. Je vous ai bien entendu aussi, monsieur le ministre, et je vous remercie pour vos paroles : il me semble que ça va mieux en le disant.
J'ai toujours considéré que j'étais à la fois Breton et Français. Nous faisons partie de la République et je considère que la langue bretonne est une langue de la République. J'ai parfois l'impression que tout le monde n'entend pas les choses comme moi, mais c'est un autre problème…