Je suis très surpris car, depuis lundi, de nombreux parlementaires ont eu l'occasion de manifester leur attachement aux langues régionales, que d'ailleurs la Constitution reconnaît désormais comme un élément de notre patrimoine national.
À ces amendements qui nous semblent être d'intérêt général, vous répondez par un simple « défavorable ». Ce n'est pas ce que nous attendions. Nous aimerions à tout le moins que ce refus soit motivé.
C'est assez révélateur de la nécessité de poursuivre ce combat en faveur des langues régionales. De toute évidence, certains de nos collègues sont imperméables à cette question. Je voulais le relever ici, en toute sérénité.