Intervention de Françoise Imbert

Séance en hémicycle du 19 mars 2013 à 15h00
Questions au gouvernement — Commandes pour airbus

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançoise Imbert :

Non, il n'y a pas de fatalité qui nous condamnerait inexorablement au déclin ! Non, la perte de 750 000 emplois industriels au cours des dix dernières années ne doit pas nous conduire à céder au découragement ou au renoncement ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Au contraire, nous devons poursuivre notre stratégie volontariste qui place le redressement productif et l'emploi au coeur de l'action publique. C'est ce que nous faisons en lançant des politiques innovantes : création de la Banque publique d'investissement, lancement du pacte de compétitivité, ou encore mise en place des contrats de génération. (Exclamations sur les mêmes bancs.) C'est aussi la réhabilitation du rôle des pouvoirs publics dans l'économie. La société Airbus est née en 1970 grâce à la conjugaison d'une ambition publique et d'intérêts privés.

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