Je vous remercie, monsieur le Premier président.
En vous entendant, me revenait à l'esprit la phrase de Péguy : « Kant a les mains pures mais il n'a pas de mains ». D'une certaine manière, la Cour a les mains pures mais c'est à nous d'être ses mains. Le travail et la compétence de l'ensemble des membres de la Cour peuvent justifier une modification de notre travail d'évaluation et de contrôle. C'est à nous de nous saisir de vos différentes études pour voir quelles suites nous pouvons leur donner et quelles propositions nous pouvons en tirer.
Mes chers collègues, compte tenu de l'actualité de cet après-midi, M. Cahuzac, vous l'imaginez, n'a pas pu venir. Nous verrons dans les heures qui viennent comment nous nous organisons pour la seconde partie de nos travaux.
Je vous propose donc de clore le débat.