Vous avez fait allusion à mes propos sur le retard de la France et sur la position des industriels du médicament. Soyons clairs : ces derniers, dont vous défendez volontiers les intérêts, sont heureux de savoir qu'on va enfin autoriser les recherches sur les cellules embryonnaires, comme dans les autres pays. Ce qui n'a rien à voir avec la vente d'organes humains…