Je déduis de votre propos que les trois quarts des médecins conseils ne sont pas affectés au coeur du métier de contrôleur, mais à des tâches administratives ou, par exemple, à des enquêtes épidémiologiques qui pourraient être confiées aux organismes de recherche. On en est ainsi réduit à gérer la pénurie, ce qui condamne à terme le dispositif.
S'agissant de la fonction publique, on suspecte une certaine mauvaise volonté pour ce qui est des délais, mais aussi de l'enregistrement des données d'état civil des fonctionnaires, qui n'a même pas été faite correctement…