En tant que présidente, je partage la satisfaction de ceux qui ont signé, comme je partage les interrogations de tous – ceux qui ont signé et ceux qui n'ont pas signé.
Nous aimerions bien évidemment aller plus vite et plus loin. La crise ne justifie pas que l'on n'avance pas davantage en matière d'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. Je remarque d'ailleurs qu'à l'époque où le travail des femmes a évolué vers une plus grande précarisation, la crise était beaucoup moins présente.
Mesdames, je vous remercie et vous demande de ne jamais oublier le sujet dans vos négociations.