Je note cependant, comme le fait M. Tourret dans son rapport, que ce mouvement est hélas ! commun à l'ensemble de l'Union européenne. Or chaque État ou presque a ses propres modalités d'organisation des élections européennes.
L'intérêt limité de nos concitoyens pour les questions européennes n'a en réalité que peu à voir avec le mode de scrutin. Le mal me semble plus profond et, par conséquent, plus inquiétant aussi.