Il faut que nous soyons très cohérents et que nous sachions défendre l'outre-mer.
Si je dis tout cela, c'est parce que nous sommes à un moment où le Parlement européen est de plus en plus présent dans de multiples décisions. La codécision, personne n'en a pas parlé : je n'ai pas entendu ce mot dans la bouche des orateurs socialistes ou radicaux, ni même dans la vôtre, monsieur le ministre.