Comment ne pourrions-nous pas être d'accord pour dépasser certains clivages partisans, alors que, chaque jour, notre pays compte 1000 chômeurs de plus. L'urgence de la situation appelle des propositions les plus opérationnelles possibles. Si c'est effectivement ce qui fait défaut à ce rapport, je crois nécessaire de poursuivre la réflexion en trouvant un moyen de prolonger notre travail sur les coûts de production et sur la compétitivité de notre économie. Je vais voir avec le Président de l'Assemblée nationale comment pourrait-on mettre en place un cadre propice à ce travail nécessairement collectif et afin qu'il soit en rapport avec la gravité des sujets qu'il nous revient d'analyser encore plus profondément.