J'entends vos arguments, monsieur le président, mais je vous précise, pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté, que c'est non pas une décision personnelle ou une décision de la présidence, mais une décision de la Conférence des présidents lors de sa réunion du 26 mars. Je ne sais pas si vous étiez présent mais, en tout état de cause, cette décision a été prise justement pour répondre à ce type de situation.
La suspension de séance est de droit.
Vous avez la parole.