Monsieur le président, vous avez répondu ce qu'il fallait répondre. Seule la Conférence des présidents peut revenir sur une de ses décisions. C'est la règle que nous avons tous admise depuis que nous sommes parlementaires.
Contrairement à ce que prétend M. Schwartzenberg, nous avons l'intention de débattre. Nous pensons même, d'ailleurs, que le débat doit s'enrichir. Il n'est donc pas question de bâcler un sujet que Mme la ministre a jugé de la plus haute importance.