Si c'est la logique de la majorité, c'est consternant.
En définitive, ce texte réifie l'embryon humain et lui donne même un statut inférieur à celui de l'embryon animal, désormais protégé par la directive européenne précitée ; il pose de graves problèmes éthiques, n'est justifié par aucun impératif de recherche fondamentale, pharmaceutique ou clinique et contrevient à la procédure établie par la loi de 2011 concernant les textes touchant à la bioéthique.
Qu'ajouter de plus ? Il est évident qu'il faut impérativement rejeter ce texte. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)