Je fais simplement un constat.
Par ailleurs – et je vous le dis sans agressivité –, tous ceux qui ont été réélus en juin dernier savent que, sous la précédente législature, lors des journées réservées, c'était l'opposition qui se mobilisait. Il n'y avait alors personne en face, puisque les votes étaient réservés jusqu'au mardi suivant.