« Comme l'a souligné M. Axel Kahn, directeur de recherche à l'INSERM, ancien membre du comité consultatif national d'éthique, lorsque nous l'avons auditionné à la fin de ce moratoire, le législateur avait alors le choix entre deux solutions : maintenir l'interdiction des recherches ou les autoriser de manière encadrée. Il a opté pour une solution hybride ».