… « “On ne protège pas l'embryon humain de la destruction en interdisant la recherche. La question éthique première est celle de la destruction de l'embryon humain ” ne faisant plus l'objet d'un projet parental. C'est peut-être même en raison de la faiblesse de notre législation concernant la destruction de l'embryon in vitro, paradoxalement autorisée sous conditions, que le législateur a été “ conduit à faire peser, par une forme de compensation, une charge symbolique supplémentaire ailleurs, en l'occurrence sur la recherche ”, poursuivait M. Ameisen. » Cela signifie qu'il s'était déjà exprimé, ce qui explique pourquoi dans la lettre, que je ne vous ferai pas l'injure de relire…