Cette comparaison est tout à fait évidente. Il a donc fallu dix ans pour qu'un professeur français, scientifique émérite, parvienne au résultat que les Américains ont réussi à atteindre dix ans plus tôt grâce à l'accès aux recherches sur cellules souches embryonnaires. Cela concerne aussi le traitement en France des ulcères de peau graves.