Denys Robiliard n'a fait que conforter mes arguments en soulignant que non seulement le patronat allait s'en sortir gagnant, mais il aurait pratiquement la garantie de voir ses gains dépasser largement ses pertes. D'une manière générale, d'ailleurs, ce projet de loi privilégie systématiquement les intérêts du patronat par rapport à ceux des salariés.