Je regrette deux choses : le recul de la recherche et la trop longue attente – que vous avez encore allongée – des patients victimes de maladies orphelines, de leurs familles. La recherche a reculé dans le pays depuis votre loi de 2011. Je regrette également que les députés responsables, au sein du RPR à l'époque ou de l'UMP aujourd'hui, qui avaient voté en faveur de cette loi en 2002 aient déserté l'hémicycle jeudi dernier.