Ainsi, si chacun reconnaît que le droit pour les salariés de bénéficier d'une mutuelle est positif, l'attachement à la liberté de choix de l'assureur doit être rappelé.
Or il apparaît que la clause de désignation, ainsi qu'elle est prévue dans le projet de loi, ne figurait pas en tant que telle dans l'ANI, les partenaires sociaux ayant posé le principe de liberté des entreprises par le biais de la recommandation quant au choix de l'organisme assureur.