Monsieur le ministre, dans les jours qui viennent, vous vous trouverez sans doute en manque de discussions, compte tenu du faible nombre d'amendements déposés. (Sourires.) Je ne résiste pas au plaisir d'en rajouter en évoquant devant vous un épisode marquant de nos réunions de commission. Je veux parler du moment où André Chassaigne a cité ce proverbe auvergnat : « On n'achète pas un âne dans un sac ».