La proposition de loi me paraît équilibrée : outre les problèmes diplomatiques, une interdiction poserait des problèmes pratiques, car certains pays ne seraient plus desservis du tout. L'Occident a bien sûr une longueur d'avance en matière de sécurité aérienne, mais j'ai moi-même emprunté beaucoup d'avions de compagnies sur liste noire… (Sourires)