Je pense à Michel Issindou, par exemple, mais aussi à Mme la ministre de la santé, qui déclarait alors : « Beaucoup ne pourront plus adhérer aux mutuelles et rejoindront le quart de nos concitoyens qui n'accèdent plus correctement aux soins dentaires et d'optique. » Elle ajoutait même : « Cette augmentation vient compliquer davantage pour nos concitoyens l'accès aux soins et à la santé. »
Ces observations étant profondément justifiées, elles n'ont nullement perdu de leur pertinence. Celle-ci s'est même accentuée car la situation s'est encore dégradée avec l'augmentation du chômage. Nous réitérons donc notre volonté de voir cette taxe supprimée.