L'année dernière, vous aviez exprimé, s'agissant de la RNT, un enthousiasme que je partage. Le Gouvernement, pour des raisons d'incertitude technologique et à cause du surcoût induit par la double diffusion en FM et en numérique, a confirmé le 6 septembre qu'il ne préempterait pas de fréquences pour Radio France ou RFI. Pour autant, je ne crois pas non plus que le sujet soit enterré. De toute façon, la procédure est engagée à Paris, Marseille et Nice puisque le Conseil d'État a demandé au CSA de respecter les contraintes de la loi de 2007. Mais si la radio publique s'abstient et si les grands réseaux boycottent la radio numérique, le projet sera gelé. Confirmez-vous que votre enthousiasme demeure intact ?
Enfin, Régis Juanico, député de la Loire, attendait la quarante-quatrième station de France Bleu à Saint-Étienne, dont il est député, fin 2012. Vous avez parlé de courant 2013 ? Il n'en dort plus. Dites-nous ce qu'il en est pour lui permettre de retrouver le sommeil.