« Bref », a dit M. Taugourdeau. Peut-être est-ce en effet le moment d'abréger ce débat, qui a été, je crois, très complet. (Sourires sur les bancs du groupe SRC.)
Madame Le Callennec, le prêt de main-d'oeuvre à but lucratif est réservé aux entreprises d'intérim. Et, dans le cadre d'un prêt à but non lucratif, on ne voit pas comment on peut durablement organiser une mobilité. Ce sont donc vraiment deux dispositifs différents. Le prêt de main-d'oeuvre ne concerne pas une expérience professionnelle ayant vocation à se pérenniser dans une autre entreprise.