…qui consiste à faire en sorte qu'il n'y ait plus un tête-à-tête franco-allemand. Certes, notre relation avec l'Allemagne est très forte – c'était encore manifeste dimanche dernier –, mais il y a aussi d'autres partenaires, comme l'Espagne et l'Italie. Nous devons aussi respecter les institutions européennes.
Ce changement de méthode induit un changement de climat, qui lui-même induit un changement en matière de résultats. Nous voulons forger un consensus avec nos voisins autour d'un rééquilibrage des politiques européennes en faveur de la croissance, comme nous l'avons fait au Conseil européen qui s'est tenu à la fin du mois de juin.
Nous voulons, je le redis, réorienter la construction européenne. Des progrès majeurs ont été accomplis dans ce sens, avec l'adoption du pacte de croissance…