Monsieur le ministre, soyez le bienvenu. Je vous prie d'excuser notre présidente, Patricia Adam, qui ne peut être parmi nous aujourd'hui.
Depuis votre dernière audition, plusieurs événements sont intervenus. Malheureusement, l'un des otages français, Philippe Verdon, est sans doute décédé, et des accrochages ponctuels ont eu lieu, à Gao il y a une dizaine de jours et à Tombouctou ces derniers jours. Sans plus attendre, je vous cède la parole.