Monsieur le député, je vous comprends et je vous ai déjà présenté mes plus plates excuses. Ayant moi-même fait dès mon très jeune âge l'objet d'un certain nombre de plaisanteries du fait de mon nom, associé à des danses classiques dans un pays plus à l'est que le nôtre, je comprends votre souffrance et votre douleur et je m'y associe. Si j'étais parlementaire, j'aurais bien évidemment voté votre proposition de loi ! (Rires.)