Je salue à mon tour le travail accompli par le collectif. Vous avez bien mis en évidence le paradoxe qui consiste à limiter l'accès à des oeuvres alors que nous vivons à l'ère du « tout numérique ».
Qui est responsable d'une telle situation et de cet accord ? La BnF, la situation financière dans laquelle elle a été placée ? Ne faudrait-il pas s'interroger sur ses rapports de financement avec l'État ?