Je souhaite la bienvenue à M. Bruno Racine, président de la Bibliothèque nationale de France (BnF), que nous avons convié pour nous parler des accords de partenariat conclus par la BnF avec des sociétés privées en vue de la numérisation d'une partie de ses fonds. Ces accords ont suscité une controverse. Vous avez d'ailleurs pu, monsieur Racine, prendre connaissance, en direct, de l'audition, qui vient de s'achever, des cofondateurs du collectif « SavoirsCom1 » à ce sujet.
Avant de vous céder la parole, je rappelle par ailleurs que la BnF et l'Assemblée nationale ont conclu un partenariat exemplaire de numérisation des oeuvres, dans le cadre d'une convention, reconduite pour un nouveau triennat, qui fait de la bibliothèque de notre Assemblée un « pôle associé » de la BnF.