Il est choquant de parler d'« époux » alors qu'il ne s'agit, avant les consentements, que de « futurs époux ».
D'autre part, même si on ne peut bien sûr en attendre la fin des problèmes de surendettement, la lecture de l'article 220 du code civil contribue à responsabiliser les futurs époux – ce qui n'est pas un mal – sans pour autant « casser l'ambiance ».