…puisqu'on aurait même changé le nombre d'élus, en l'augmentant à certains endroits et en le diminuant à d'autres. Quand M. Larrivé a parlé de sécateurs, j'ai eu envie de lui répondre – et c'est dommage qu'il ne soit plus là – qu'au ministère de l'intérieur, nous n'en sommes plus au temps des sécateurs : je crois que le ministre pourra le confirmer. Comme disait le général de Gaulle – je sais que vous aimer le citer –, nous n'en sommes plus au temps de la lampe à huile et de la marine à voile. Eh bien, nous n'en sommes plus au temps des sécateurs au ministère de l'intérieur, mais plutôt, sans doute, au temps des ordinateurs, pour les redécoupages.