Je soutiens le travail de notre rapporteure, mais je suis inquiète quand elle évoque dans son amendement n° 2 le recours à des crédits publics nationaux ou européens pour mettre en oeuvre de nouvelles expertises quand on connaît la difficulté qu'il y a à les mobiliser. Il faut du temps pour inscrire des crédits à un budget et pour se mettre d'accord sur un protocole de recherche. La période proposée pour le moratoire est de deux ans mais je crains que nous ne disposions pas d'éléments probants lorsqu'il expirera, d'où le risque qu'il ne soit prolongé.