L'Union européenne a dû débloquer 2,9 milliards d'euros de crédits supplémentaires pour répondre à ses engagements, car les crédits de paiement prévus en 2010 se sont révélés insuffisants ; la quote-part française s'est élevée à 800 millions d'euros. Il y aura bien sûr une compensation par un surgel en 2013.